Augustine Viallet Une leader dévouée au service de son équipe À seulement 17 ans, Augustine est une joueuse emblématique de l’équipe U18 féminine. Avec dix années de pratique derrière elle, sa passion pour ce sport est indéniable et constitue une part essentielle de sa vie. En plus de ses compétences sur le terrain, Augustine se distingue par son esprit d’équipe et son leadership, comme en témoigne un moment marquant lors d’un récent match.   Lors d’un temps mort crucial, alors que l’équipe semblait accuser le coup face à l’adversaire, Augustine a pris la parole. Avec assurance et détermination, elle a su rebooster ses coéquipières, insufflant une nouvelle énergie qui a permis à l’équipe de renverser la situation. Son intervention a été décisive, et grâce à son charisme, l’équipe a réussi à emporter la victoire. En ce qui concerne son approche du jeu, Augustine déclare : « Quand je tire, je fais attention à ma gestuelle, car c’est avec ça que je me rends compte si je vais marquer mon panier ou le rater. » Lorsqu’on l’interroge sur ses rituels avant un match, elle répond : « Je n’ai pas vraiment de rituel, mais j’essaie de faire mieux que mon match d’avant et de ne pas décevoir les autres de mon équipe. » En dehors du terrain, Augustine nourrit également sa passion pour la musique. Elle avoue que les concerts sont une autre de ses grandes passions, et elle puise son énergie dans des morceaux comme « M.I.L.S 2.0 » de Ninho. Si elle pouvait s’entretenir avec un joueur de basket, ce serait avec Kobe Bryant, pour comprendre comment il a réussi à atteindre un tel niveau de réussite dans sa carrière. Bien que les débuts de la saison aient été difficiles, Augustine est optimiste : « Les premiers matchs n’ont pas été les meilleurs, mais depuis plusieurs semaines maintenant, ça va beaucoup mieux sur le terrain. J’espère encore m’améliorer pour les prochains. » Son leadership ne réside pas seulement dans les performances individuelles, mais aussi dans la capacité à motiver et à soutenir les autres.  

week-end gagnant Ce week-end a été particulièrement fructueux pour nos équipes U15 masculins, qui ont toutes deux remporté leurs matchs, affichant des performances impressionnantes sur le terrain.   Équipe 1 : Une Victoire à Sancé L’équipe 1 a effectué un déplacement à Sancé, et le match s’est révélé être un véritable exercice de maîtrise. Dès le coup d’envoi, les protégés de Soane ont montré une détermination sans faille, contrôlant le jeu de bout en bout. Grâce à une défense solide et une attaque efficace, ils ont su prendre l’ascendant sur leurs adversaires. Le score final de 46 à 116 témoigne de leur domination et de leur sérieux tout au long de la rencontre.   Équipe 2 : Une Belle Performance Contre Verdun De leur côté, les masculins 2 ont affronté une équipe de Verdun qui n’était pas à prendre à la légère. Le match a été intense, et les deux équipes ont fait preuve d’un excellent esprit sportif. Nos joueurs ont su se battre avec ardeur, montrant des phases de jeu prometteuses et des échanges captivants. Leur persévérance et leur travail d’équipe ont porté leurs fruits, avec une victoire bien méritée de 96 à 72. Cette performance est un véritable encouragement pour l’équipe, qui continue de progresser et de gagner en confiance.

Un entraineur au cœur du jeu et l’équipe Comment évaluez vous la première partie de saison de votre équipe ? Damien Lobreglio constate des progrès individuels significatifs chez ses joueurs, notamment sur le plan technique. Collectivement, l’équipe a atteint un bon niveau d’intensité, avec une maîtrise quasi acquise des principes de travail pré-collectif. Les points forts de l’équipe incluent une compréhension claire des rôles de chacun sur le terrain, après deux mois de travail. L’équipe a également développé une stratégie de jeu rapide, exploitant efficacement les erreurs des adversaires. Il souligne la réceptivité des joueurs aux consignes et leur désir d’apprendre, ce qui est prometteur pour la suite. Cependant, des domaines d’amélioration subsistent. L’entraîneur souhaite renforcer la concentration des joueurs durant les quatre quarts temps, améliorer la répétition des phases de jeu et travailler sur les postures défensives pour être plus agressifs tout en évitant les fautes. Quelles sont vos attentes pour la suite de la saison? Le coach espère allier les progrès individuels en attaque et en défense pour atteindre l’objectif collectif de terminer la saison invaincu. La priorité a été donnée à la formation individuelle et à la cohésion de groupe. En regardant vers l’avenir, il souhaite préparer la saison prochaine avec des ambitions plus élevées, visant le titre départemental ou le championnat régional. Quel est votre parcours sportif ? Avez vous joué au basket? Il a joué à un niveau régional et a suivi une formation d’entraîneur, passant par le CFA de l’Élan Chalon jusqu’à l’obtention du BE1. De 2007 à 2014, il a travaillé au Chalon Basket Club, où il a eu l’opportunité de côtoyer des niveaux nationaux en masculin et féminin, tout en s’engageant dans l’initiation dans les écoles. Cette expérience en tant qu’entraîneur éducateur a été particulièrement enrichissante pour lui. Qu’est-ce qui vous a attiré dans le coaching ? Il a ressenti le désir d’entraîner et de transmettre sa passion pour le basket. L’idée d’articuler une équipe autour de la progression et de la victoire l’a motivé à se lancer. Après une année dans des études trop générales, il a décidé de changer de voie, a intégré le CFA de Chalon, et c’est ainsi que son aventure en tant qu’entraîneur a commencé. Comment décririez vous votre style de coaching? le Coach qualifie son style de coaching comme humaniste, alliant un côté dynamique tout en restant centré sur l’humain. Il aime défier et taquiner ses joueurs, tout en maintenant une communication ouverte. Il considère que le travail collectif est essentiel et encourage ses joueurs à se dépasser, notamment en profitant des moments de fatigue pour renforcer leur mental. Quelles sont les valeurs que vous essayez d’inculquer à vos joueurs ? Il souligne l’importance du respect mutuel, car chaque joueur est à un stade d’apprentissage différent. Il insiste sur l’écoute pour bien comprendre les consignes d’entraînement et sur l’engagement total sur le terrain. Cet engagement implique de mettre en place une pression défensive qui facilitera ensuite l’attaque. Avez vous un mentor qui vous a inspiré dans votre parcours de coach ? Damien mentionne plusieurs influences marquantes dans sa formation. Il a été impressionné par l’attention aux détails de Messina et le charisme naturel de Gregor Beugnot. Il a beaucoup appris de Roman Chenaud, qui a une approche humaine de la formation des joueurs. Enfin, il cite Virginie Cauvin, qui lui a rappelé l’importance de l’écosystème du basket au-delà du haut niveau, y compris les municipalités et les clubs amateurs. Grâce à elle, il a découvert l’animation basket école, offrant une perspective différente. Quels conseils donneriez vous aux joueurs qui aspirent à devenir entraineurs ? Il souligne l’importance d’être à l’écoute des autres et de rester curieux vis-à-vis des méthodes d’entraînement. Il recommande d’échanger avec différents entraîneurs, d’observer des matchs et de s’adapter aux besoins des joueurs. Il insiste sur le fait que cet engagement, motivé par la passion, demande du temps, du travail et une grande responsabilité, ainsi qu’une réelle envie de transmettre ses connaissances.

Laura Cuberes Actuellement entraîneur d’une équipe de U13, elle a su insuffler une dynamique positive au sein de son groupe, qui a déjà fait des progrès significatifs depuis le début de la saison. Selon elle, la persévérance et la motivation des filles sont des atouts précieux, même si elle note qu’il reste encore de la place pour une amélioration du travail d’équipe.   Son approche de l’entraînement est axée sur la progression individuelle de chaque joueuse. Laura exprime clairement que, peu importe le résultat final de la saison, son objectif principal est de voir ses joueuses évoluer et s’améliorer. Cette philosophie encourage les jeunes athlètes à se concentrer sur leur développement personnel, ce qui, selon elle, est plus gratifiant que de simplement viser la victoire. D’un point de vue personnel, Laura a un parcours sportif riche et varié. Avant de se consacrer au basketball, elle a pratiqué des sports individuels tels que le tennis et l’athlétisme. Depuis huit ans, elle s’est concentrée sur le basketball, atteignant le niveau pré nationale. Ce changement d’orientation vers le coaching n’était pas initialement un choix délibéré, mais après quelques participations aux entraînements, elle a découvert une passion pour l’enseignement et l’accompagnement des plus jeunes.  Son style de coaching est caractérisé par un mélange de sérieux et de motivation, avec des ambitions claires d’évolution pour son équipe. Elle met un point d’honneur à inculquer des valeurs essentielles à ses joueuses, notamment l’importance de la défense, affirmant qu’un match peut être gagné grâce à un bon travail défensif, même si l’attaque est moins performante. De plus, elle insiste sur le fait que la défaite est une occasion d’apprendre et de grandir.  Bien que Laura ne ressente pas une pression écrasante, elle s’efforce de ne pas la transmettre à ses joueuses, afin de leur permettre de jouer de manière détendue et confiante. En dehors du basketball, sa vie est également remplie d’activités sportives, en raison de sa carrière militaire qui lui impose un rythme de vie actif et dynamique. Inspirée par les coachs qui l’ont guidée tout au long de son parcours, Laura n’a pas de mentor spécifique, mais elle tire des leçons précieuses de ses expériences passées. À ses joueuses, elle leur dit toujours de se battre et de croire en elles, peu importe les opinions extérieures. Pour elle, la fierté personnelle est la seule qui compte réellement.   Laura incarne l’esprit d’une coach déterminée, engagée et passionnée, qui utilise son bagage militaire pour former non seulement de meilleures joueuses de basketball, mais aussi des jeunes femmes confiantes et résilientes.

Kevin Mauchand 48 points Un joueur de la catégorie U15 M, surclassé en U18M, a réalisé une performance exceptionnelle en marquant 48 points à Sancé. Grace à cette performance, il a été elu meilleur marqueur du Club .

Yves Laurent Yves laurent a réalisé une performance remarquable lors du Week end du 11 et 12 janvier, marquant 30 points contre louhans. Ce jeune talent, se distingue par ses performances et sa capacité à briller à différents niveaux. Il excelle également  en u 21 et RM3.

Kinésithérapeute du Sport, Alliant Expertise et Passion pour le Basket Philippe Colin Peux-tu te présenter en trois dribbles (ou trois phrases) ? Je m’appelle Philippe Colin, j’ai 35 ans, je suis kinésithérapeute depuis 12 ans, j’exerce à Châtenoy-le-Royal en tant que kiné du sport, associé à un préparateur physique. Si tu étais un joueur de basket, lequel serais tu et pourquoi ? J’adore Blake Griffin, pour tous les dunks stratosphériques qu’il a réalisé. Quelle est ta meilleure technique pour marquer un panier ?  Petit cross puis jump shoot à mi-distance. As-tu un rituel bizarre avant un match ?  Pas de rituel bizarre mais ça commence par un bon petit déjeuné, une bonne hydratation, et la vision de la victoire. En dehors du basket, quelle est ta passion secrète ? Je suis passionné de rap depuis l’adolescence, j’écris quand j’ai le temps . Quelle musique t’encourage à donner le meilleur de toi-même sur le terrain ? Il y a beaucoup de sons qui motivent mais un petit « Lose yourself » d’Eminem me donne bien la hargne. Si tu pouvais dîner avec n’importe quel joueur de basket, vivant ou mort, qui choisirais-tu et que lui demanderais-tu ? Avec Victor Wembanyama pour lui demander si il est vrai que manger de la soupe fait grandir. Pour ceux qui souhaitent bénéficier de l’expertise de Philippe, sachez qu’il vient d’ouvrir son cabinet de kinésithérapeute à Chatenoy-le-Royal. Vous pouvez le contacter au 03.45.51.25.84  

Anne laure MAYEMBO À seulement 17 ans, Anne-Laure Mayembo se distingue déjà comme une joueuse talentueuse au Chalon Basket Club. Actuellement en terminale, elle jongle habilement entre ses études et sa passion pour le basket. Nous avons eu l’occasion de l’interviewer pour en savoir plus sur son parcours et ses ambitions. Un rêve en devenir « Je m’appelle Anne-Laure Mayembo, j’ai 17 ans et je suis en terminale », se présente-t-elle avec assurance. Lorsqu’on lui demande comment elle se voit en tant que joueuse professionnelle, elle avoue : « Je ne sais pas trop, je ne sais pas me représenter en un joueur pro. » Cette modestie tranche avec son talent sur le terrain et son dévouement pour le basket. Un tir qui fait la différence Anne-Laure révèle que sa meilleure technique pour marquer est de « tirer le plus haut possible ». Une approche qui témoigne de son désir constant de s’améliorer et d’exceller dans son sport. En plus de ses compétences techniques, elle a un rituel qui lui est cher : « Je ne peux pas commencer un match sans prier. » La prière lui apporte sérénité et concentration, des éléments clés pour performer. Le basket, une passion exclusive Lorsqu’on aborde ses autres intérêts, Anne-Laure répond simplement : « Rien d’autre, j’aime que le basket. C’est vraiment ancré dans mon cerveau. » Cette dévotion envers le sport est remarquable et reflète son engagement total. Un modèle inspirant Pour finir Elle partage son admiration pour le légendaire Michael Jordan : « Je pense que je choisirai Michael Jordan, pour moi c’est le meilleur joueur du monde. Je lui demanderai de m’entraîner. » Cette aspiration à apprendre des meilleurs montre son ambition et sa volonté de progresser. Anne-Laure Mayembo est une jeune talentueuse qui ne cesse de briller sur le terrain. Avec sa détermination et sa passion, elle est sans aucun doute une joueuse à suivre de près dans les années à venir.  

thomas bonnot cauvin: De joueur à arbitre , une passion révélée Thomas Bonnot Cauvin, âgé de 18 ans, fait partie intégrante du paysage du basket local. Ancien joueur, il est désormais arbitre de Régional 1 en senior et officiant pour les championnats jeunes de France. En parallèle, il est également membre de la commission des officiels de Saône-et-Loire, un rôle qui témoigne de son engagement envers le développement de l’arbitrage dans sa région. Thomas a débuté sa carrière d’arbitre il y a quatre saisons, mais son implication dans le club remonte à bien plus longtemps. La motivation derrière ce choix est intéressante : « Je n’étais pas un bon joueur, mais je voulais découvrir un autre niveau de jeu. » C’est grâce à une invitation de Michèle, qui lui a demandé d’arbitrer quelques matchs de jeunes, qu’il a découvert sa passion pour l’arbitrage. Cette expérience l’a incité à viser plus haut, inspiré par la carrière des arbitres évoluant en N3 féminine ou en Pro A à l’Élan. Ce qui le passionne le plus dans son rôle d’arbitre, c’est l’importance de sa fonction dans le basket. « Le rôle d’arbitre est un des trois piliers centraux du basket. Sans joueurs, il n’y a pas de match ; sans coachs non plus ; mais sans arbitres, le basket serait impossible ! » Il apprécie également le fait de pouvoir gagner un peu d’argent en exerçant une activité qui lui plaît. Les défis ne manquent jamais sur le terrain. Chaque match est unique, avec des officiels de table différents, des joueurs et des coachs qui varient. Thomas se souvient particulièrement de son premier match officiel en senior régional 3, une expérience inoubliable qui a marqué le début de son parcours d’arbitre. Au-delà des défis, il a eu l’occasion de vivre de belles rencontres et des moments de partage mémorables. Concernant sa relation avec les joueurs et les entraîneurs, Thomas note que, dans son niveau d’arbitrage, les coachs sont souvent des techniciens qui travaillent sous pression pour atteindre des objectifs. « Les relations restent globalement respectueuses, même s’il arrive que certains débordements surviennent. Dans ces cas-là, nous n’hésitons pas à les sanctionner », explique-t-il. Pour les jeunes arbitres souhaitant suivre ses traces, Thomas insiste sur l’importance du travail acharné. « Pour progresser, il faut travailler sans relâche. Cela passe par la réalisation de clips vidéo et une remise en question constante. Je conseille également aux jeunes arbitres de se rapprocher de leur club ou de leur CDO pour se lancer dans l’arbitrage. »

El Bali Maroine : Un joueur devenu arbitre passionné À 26 ans, EL BALI Maroine est un visage familier du club, mais sa passion pour le sport ne s’arrête pas seulement à jouer sur le terrain. Depuis deux ans, il exerce également le métier d’arbitre, et cette année, il entame sa troisième saison dans ce rôle enrichissant. Maroine a découvert l’arbitrage en officiant pour son club le week-end. Grâce à sa bonne connaissance des règles du jeu, il a rapidement développé un goût prononcé pour siffler. « J’aime de manière générale siffler un match. On ne s’en rend pas compte parfois, mais l’arbitre a un réel impact sur le match et son déroulement. Il a donc des responsabilités importantes que j’aime avoir », confie-t-il.   Un des moments les plus mémorables de sa carrière d’arbitre a été la chance d’arbitrer une équipe de Nationale Masculine 2 lors de la Coupe de France. Cet exploit témoigne de son engagement et de sa progression dans le monde de l’arbitrage. Maroine souligne l’importance d’établir une relation de confiance et de pédagogie avec les joueurs et les entraîneurs. « En tant qu’arbitre, nous sommes là pour que le match se déroule de la meilleure manière possible. Il faut donc rester ferme dans nos choix, même face aux contestations parfois », explique-t-il. Au-delà de l’aspect technique, l’arbitrage a eu un impact positif sur sa vie quotidienne. « Cela permet de se développer et surtout de prendre confiance en soi. Il ne faut pas hésiter à se lancer. On n’en retire que du bien », ajoute-t-il. Enfin, Maroine évoque l’importance de faire partie de ce club. « C’est avant tout amener une touche personnelle. Que ce soit par le coaching, l’arbitrage ou même en tant que joueur, contribuer à la vie du club, c’est apporter un peu de notre savoir-faire aux autres. »